Lola, pour la Femme (remake du Poème de Lola)
T’es restée dans le profond de ton être
T’as mis du temps à le reconnaître
Mes mots sont un baume qui te font renaître
Toi, juste la belle violette, tu me fais maître
Je n’aime de ton chagrin que de ne point savoir
Du nord ou sud, je reste et je m’appelle l’espoir
Avec tous tes mots ton cœur bat, est-ce de me voir
Transpercer tes baisers de mon petit pouvoir
A la fois si loin, je n’suis pas dans le foin
Rêver dans ta tête, tout en étant au loin
Consommer tes mots les plus, les moins
Partager tes maux, te donner de l’entrain
Pour une femme comme toi, je ne suis plus humain
Je lis entre les lignes, pas celles de tes mains
Je ne demande rien, surtout pas t’offenser
Même en te copiant, je veux juste t'aimer
Ton désir, ne peux l’exaucer, ce serait trop beau
Je n'ai rien, car je suis un grand sot
Si tu me connaissais, ce ne serait pas beau
De toutes tes idées, je les porte plus haut
Lola, excuse cet emprunt, mais tes mots sont exquis, je t’offre mon exquis mot.
Tes écrits ne sont pas d’antan, même s’ils sont bercés par le beau vent d’autan.
T’es restée dans le profond de ton être
T’as mis du temps à le reconnaître
Mes mots sont un baume qui te font renaître
Toi, juste la belle violette, tu me fais maître
Je n’aime de ton chagrin que de ne point savoir
Du nord ou sud, je reste et je m’appelle l’espoir
Avec tous tes mots ton cœur bat, est-ce de me voir
Transpercer tes baisers de mon petit pouvoir
A la fois si loin, je n’suis pas dans le foin
Rêver dans ta tête, tout en étant au loin
Consommer tes mots les plus, les moins
Partager tes maux, te donner de l’entrain
Pour une femme comme toi, je ne suis plus humain
Je lis entre les lignes, pas celles de tes mains
Je ne demande rien, surtout pas t’offenser
Même en te copiant, je veux juste t'aimer
Ton désir, ne peux l’exaucer, ce serait trop beau
Je n'ai rien, car je suis un grand sot
Si tu me connaissais, ce ne serait pas beau
De toutes tes idées, je les porte plus haut
Lola, excuse cet emprunt, mais tes mots sont exquis, je t’offre mon exquis mot.
Tes écrits ne sont pas d’antan, même s’ils sont bercés par le beau vent d’autan.